un chasseur sachant shasser [finie]

Bonjour demoiselle et damoiseau, vous voulez connaitre l'histoire du plus fort, beau, coloré et modeste perroquet de la ville? Et bien laisser moi vous la racontez...

Tout prend place dans le poumon vert, la plus grande forêt du monde. Des arbres à perte de vue, l'air humide et rempli d'insecte, des prédateurs a chaque buisson ou chaque branche, et pourtant on trouve toujours de quoi se nourrir, enfin pour l'instant. Car les hommes détruisent la forêt pour s'amuser...

Maintenant que je vous ai planté le décor je vais vous dire ce qui m'attire dans les rues de cette ville. Je suis nais dans un nid avec trois frère, j'avais deux soeur mais une et tombé du nid l'autre s'est fait attraper oisillon par un rapace. En bref la joyeuse loi de la jungle. Est-ce que ça me manque? Terriblement! c'est tellement bon d'êtres chasseur et chassé, d'êtres vivant.

Mais un jour je me suis endormie d'un coup comme ça sans raison, pour me réveiller dans un endroit qui bouge, mal éclairer. Une cage trop petite pour mes ailes. Mais je n'étais pas seul, beaucoup d'autres oiseaux, et même des serpents ou des caméléons étaient prisonniers.

le voyage a duré une éternité. Beaucoup sont morts ou devenus fou. Mais pas moi, je suis trop exceptionnel pour me laisser abattre par ça. Une fois arrivé, je fus aveuglé par la lumière crue du jour, je pensai enfin être libre mais non, c'était juste pour changer de véhicule, passer d'un avion à une voiture... à croire que la cruauté n'a pas de limite, mais je ne les laisserais pas m'avoir, foi d'ara!

je finis par arriver dans un grand entrepôt ou mois et les quelqu autre à avoir survécue finirent par ce retrouver. Régulièrement, presque tous les jours deux ou trois étaient emporter. Jusqu'à ce qu'une foule d'autres humains, surement des policiers arrive en même temps pour mettre la pagaille en tirant partout. Une fois qu'il on finit de s'entretuer il on commencer à ouvrir les cages pour nous mettre dans d'autre cage. Pour notre bien? je ne pense pas! Plutôt que de me laisser faire je mords la main qui ouvre la cage et profite de l'ouverture, m'enfuie a tire d'aile: enfin libre! Libre dans un endroit tout neuf, remplie de béton et a l'air polluer, mais libre.

Et aujourd'hui me voici. je vis ou plutôt survie a cette jungle urbaine. c'est moins drôle que l'Amazonie, mais au moins il y a a mangé et les raw mon pris sous leur aile, si j'ose dire, même si je suis nostalgique de ma vie d'avant je trouve la vie ici moins terrible que ce que je pouvais m'imaginer, alors autant profiter